Histoire de guilde

Par une belle soirée de janvier, la guilde se retrouve au coin du feu, après un bon repas, des rires, ils commence à évoquer leurs souvenirs de combat, leurs espérence et leur doute.

tout le monde se groupe autour du feu et une torche est placée au centre


Alors Sha prend la torche et avec une voix douce mais passionnée elle raconte son parcourt.


Petite hisoire: j'ai commencé mon périple cet été, j'tait alors une jeune Tauren innocente mais prete à tout. Sharkta ( Sha pour les intime et shou pour chip, XD) est donc parti à l'aventure avec l'espoir de devenir une grande chasseresse. en trois semaine je suis monté au lvl 35. Un jour alors que je rentrais au Moulin de Taren, fatiguée par une journée de quetes et de combat, je vis qu'il y avait de l'agitation: un Tauren faisaient le con sur un chariot trainant sur la place du village, chevauchant son kodo il s'amusait à la chauve souris, en faisant s'accrocher son kodo la tête en bas. les rires fusaient; prise au jeu nous avons déconné ensemble.
C'est donc ainsi que j'ai connu Chip, mon héro, qui n'était à l'epoque que Champion, Champion du monde meme !

N'ayant pas d'attache dans ma premiere guilde, je lui demande d'intégrer sa Guilde, ravit qu'il serve à quelque chose et surtout ravi de l'interet evident que je lui portait, il gonfle le torse, parade, et me met enfin en relation avec un certain ZIvral. c'était le MG des manticores pourpres.
Après un interogatoir pour le moin térrifiant de la part de Ziv, j'integre les Manticores et fait connaissance avec une équipe, super mais surtout une sacré bande de bras cassé.
Je continue alors mon chemin vers l'excellence dans cette guilde spéciale mais que j'adorais deja.

Puis notre MG à une eu absence, puis Oca, et moi prise par d'autre soucis j'ai arreter mon voyage d'apprentissage, pendant au moin 2 mois. Laissant la guilde sans nouvelle.

Puis au alentour du voile d'hiver, je me reprend et me dit que la glande, c'eset terminé et qu'il est temps de reprendre les routes d'azeroth sur dos de mon fidèle Kodo et toujours accompagnée par Humar, le fier lion noir.

J'ai découvert que les manticores n'existaient plus, j'ai alors pris contact avec Hornéald, et lui ai demander d'integrer sa nouvelle Guilde: OLD SCHOOL.
J'y ai retrouvé tout mes amis et d'autre encore, et les aventures recommences alors.

Aujourd hui je suis très attachée à la guilde et à tous ces membre, que je considère comme la famille que je n'ai plus, ils sont en effet tous mort au combat contre l'alliance.
J'ai donc juré de me venger !!!
Oldschool est devenu une famille de substitution, que je défendrai jusqu'à la mort !!!



Sha fini sa narration en finissant sa chope de biere, puis repose la torche

Hornéald se leve en jetant sa chope au loin

Prends la torche

Je suis né…

En cette chaude journée de juillet 2007 ma mère me mis au monde,

Une enfance heureuse dans les plaine de mulgore ou l’instinct de chasse des taurens m’envahi.

Très vite je parti courir après les différentes proies s’offrant à moi afin de nourrir ma famille… et satisfaire ce besoin d’avoir toujours de plus en plus de trophés de chasse.
Mon besoin de voyage m’amena à rejoindre les vastes forets prêts de Fossoyeuse afin de rejoindre mes amis….

Ensemble avec Zorroz, Zivral et Uljine nous quêtâmes afin d’assouvir nos bas instincts.

De là est née une guilde, les « Manticores Pourpres », ce qui me permis de rencontrer de nombreuses personnes dont mon mentor, Metoken.

Las de la gestion des Manticores, avec deux autres officiers, nous décidâmes de partir afin de monter quelque chose qui nous correspondrait plus. Ainsi, avec Zorroz et Metoken nous décidâmes de créer Old School.

Nos périples furent variés et enrichissant. La naissance de mon frère Methevas ne pouvais que s’ajouter a ce bonheur.

Cependant mon père parti sans que je puisse comprendre pourquoi, ma mère restant muette sur le sujet. J’ai tenté d’élever mon frère autant que possible, mais il s’orienta plus vers le coté nature des Taurens et devins druide. Je ne pus alors plus lui apporter mes conseils, étant ignorant dans ce domaine.

Pendant ce temps notre guilde évolua et Metoken dut, a son grand regret, nous quitter.

Ainsi je fut nommé Chef de Guilde à sa place (le mot Chef est très exagéré) et tente tant bien que mal depuis de faire subsister l’idéologie Old School.

S'assoie et tends la torche au suivant

titube vers la torche tendue et l'arrache à Horn.

Je suis née il n'y a pas longtemps dans un royaume ou la magie est présente à chaque coin de rue et ou le mana coule à flot.
Mes cheveux sont d'or mais mon coeur ne l'est pas nécessairement vu que je tue sans pitié (en ayant une petite préférence pour les humains) *rire démoniaque*

J'ai deux soeurs, dont une jumelle à qui je ne ressemble pas mais avec qui je vis cette aventure dans Azeroth.

Nous avons étés recrutées très jeunes dans une guilde, mais les gens dans cette guilde ne parlaient pas notre langue, je ne comprenais rien à leurs phrases (slt cmt tu va? on quèt a2?).

Ma soeur et moi avons donc décidé de quitter cette guilde mais nous ne pouvions pas rester seules, deux belles demoiselles perdues font vite de vilaines connaissances.

Un jour nous avons rencontré Alph, le nom de sa guilde m'a inspiré de suite, dans "old school" il ne pouvait y avoir que des gens d'un certain âge, et donc, qui parlaient notre langue.... Je le mis à l'épreuve.

"Bonjour, sauriez - vous me dire à quel niveau est la première monture" (il a du me prendre pour une abrutie... en plus j'avais la réponse depuis longtemps car ma grande soeur (celle d'une autre faction) est niveau 70 !)... je m'en foutais de la réponse, je voulais juste voir sa manière de parler...il ne l'a jamais su d'ailleurs, mais il a passé ce test avec brio, me répondant dans un bon français bien conjugué !

Nous décidâmes, ma jumelle et moi de lui demander de nous guilder et c'est ainsi que nous faisons partie, maintenant de cette guilde si géniale qu'est Old school !

Je me rends quand même compte, avec tristesse, que les membres sont tous plus âgés que nous et qu'ils visitent des endroits que je rêve de visiter, j'espère simplement que quand nous serons aussi âgées qu'eux ils viendront quand même nous aider à visiter ces endroits, même si déjà vu.

*regarde tous le monde un par un* ....ma grande soeur me parle beaucoup de Karazhan, je me réjouis d'y aller, avec vous tous ! Je vous adore tellement !

*écrase une larme, reprends une chope et laisse tomber la torche*

*ramasse la torche et allume sa clope avec*

Je suis né il ya 112 ans, pendant la guerre contre Dar’khan. Mes parents étaient des guerriers sous les ordres de Lor’themar, ils résidaient à Darienf’hu, une ville fortifiée qui servait de poste frontière, toutes les races hordeuses y étaient représentées. Les odeurs des égouts mélangées à celle des cadavres faisaient tourner de l’œil comme un caméléon posé sur un tissu écossais.
Les militaires de Darienf’hu passaient plus de temps à défendre la ville contre les agresseurs extérieurs que contre les malfrats de l’intérieur. Il y avait du meurtre dans l’air et du vilain dans les rues. Entre mes parents en vadrouille pour le bien des elfes, les dragons qui s’écrasent sur la ville et les quelques disparitions inexpliquées il fallait bien que je me débrouille pour survivre. Tout petit j’ai donc appris à me cacher, au début je m’habillais en noir et je longeais les murs, au bout de quelques semaines j’arrivai à dissimuler dans l’ombre de mes bottes.
A l’heure de l’apéritif (c'est-à-dire quand la garde de la ville ne cuvait pas et que je n’avais pas à me soucier de procès) je profitais de mon don particulier de disparition pour emprunter de la nourriture aux étalages des commerçants, j’en profitais également pour encaisser la recette de la journée.
La guerre allant bon train, et moi aussi, je fini par me faire repérer par une guilde de voleurs (assassins, cambrioleurs et autre disciplines assimilées dont le siège social était situé juste à coté de "la guilde des damoiselles et damoiseaux à l’affection et l’hypocrisie négociable") qui m’expliquent qu’il y a des quotas de voles à respecter et que si je voulais dépasser ce quota il fallait que je rentre dans leur guilde et que je paye une taxe. Mon refus n’avait visiblement pas plu au troll assassin… c’est là que j’ai appris à courir vite.
Lors d’une mes nombreuses courses (comprendre "commission rapide à l’étalage d’un honnête marchand d’arme tauren") j’ai heurté un orc. Nous sommes tombés tous les deux au sol, je me suis redressé, l'ai regardé et tenté une négociation pour éviter une bagarre qui aurait visiblement tourné à mon désavantage vu le nombre de cicatrices qui couvrait son corps « Pardon.. » lui dis-je, lui de me répondre : « HACHE ». Apparemment il voulait la hache que je venais de trouver sur l’étalage du marchand, et il avait déjà l’air très épuisé intellectuellement par ce qu’il venait de me dire. Je lui cédai ma nouvelle hache.
C’est ainsi que j’ai rencontré Zorgol (c’est un nom bien long pour les orcs qui d’habitude ont un nom avec 1 ou 2 syllabes de moins). Il m’apprit à encaisser les coups, puis à manipuler des armes. Ce n’est pas qu’il était bon guerrier, mais dans le genre costaud et vert on fait rarement mieux (bien que j’ai croisé un orc nommé Hulk qui avait autant de difficulté à parler que Zorgol). En tout cas, une fois il a éternué, il a eu un étrange réflex, celui de mettre sa main devant la bouche, stupéfié par cet acte civilisé de la part d’un orc je n’ai pas pu éviter sa main gantée de fer et armée de son pavois emportée par le souffle de l’éternuement. J’ai écopé de 3 jours de coma et d’une molaire en moins. C’est certains, il manipule bien le bouclier, « R’don » il m’a dit.
J’ai voulu m’intéresser à l’alchimie, mais j’ai dû commencer à apprendre avec un marchand d’herbe car la guilde des alchimistes n’avait toujours pas été reconstruite (La guilde des alchimistes est obligée de changer de bâtiment en moyenne 5 fois par ans pour cause d’incendie, explosion, apparitions inexpliquées d’ectoplasmes, la dernière fois ils ont inventé une potion de pourrissement accéléré, ça a dégénéré le flacon, le carrelage, les fondations du bâtiment et depuis il y a un trou à la place du bâtiment donnant sur une autre dimension [donjon lvl 45]).
En sortant de la ville pour aller cueillir des plantes j’ai croisé un tauren, il était habillé pour faire la guerre et ses épaulières qui brulaient en permanence sans se consumer (pas facile pour tourner la tête). Il avait dû se réveiller un matin en s’étant fixé pour objectif de recruter un petit elfe voleur dans sa guilde. Il m’avait raconté une histoire à dormir debout avec des manticores qui avaient mangé des lotus pourpres, mais que ce n’était pas la bonne époque pour manger ce genre de couleur, du coup il y a une nouvelle vieille école qui s’est créée… Métoken n’avait donc pas beaucoup d’arguments percutants mais je me suis dis qu’entrer dans une guilde peut me protéger des autres guildes.

Voilà mon histoire.

*écrasse sa clopse au sol et s'ouvre une bière*

*voyant le silence aux alentours, continu son discours*

Une fois enrôlé dans cette guilde j’ai décidé d’aller visiter la capitale des Elfes de sang, Lune d’Argent. A mon arrivée j’ai eu l’impression d’entrer dans un bloc opératoire aseptisé (j’étais certainement perturbé par l’absence d’odeur de brulé, de cadavres aux pieds des auberges et des 25 cm de boue sur les pavés des rues), les gardes avaient des armes reluisantes, il n’y avait pas un seul rat en train de courir (j’ai découvert plus tard l’existence de la « guilde prophylactique des rongeurs » dont le siège social n’est pas très loin de celui de la « guilde des marchands de viande en gros est demi-gros »). A première vue les habitants avaient l’air d’avoir leur orifice final de digestion éventé, aujourd’hui je peux affirmer que les elfes de sang ont tous un truc rigide dans cet endroit, ils n'avaient peut être pas trouvé encore de placard à balais. Inconsciemment j’ai essuyé mes bottes en entrant dans la ville.
Pour bien m’intégrer à Lune d’Argent j’ai accepté de rendre quelques services à la communauté. C’est au cours d’une mission pour une guilde de marchands (qui est pire que la guilde des voleurs) que j’ai rencontré Firbolg, un Elfe de Sang accompagné d’un gros chat avec les dents pointues dont l’odeur (même sec) n’arrive pas à égaler celle de son maître (j'ai rencontré plus tard des chasseurs taurens, qui ne me rappelaient en rien Firbolg). Le marchand nous avait demandé de lui rapporter des cœurs pourrissants que l’on trouve sur des zombies. C’est en sortant de la ville pour aller chercher cela que je découvrais alors l’immense faille faite pendant la guerre qui avait coupé en deux la capitale et qui traversait les terres fantômes. Le paysage était plus proche de ce que j’ai connu dans mon ancienne ville et j’ai su alors pourquoi feu mes parents s’étaient battus. D’ailleurs, depuis les terres fantômes on voit particulièrement bien la voute étoilée qui ressemble à une pluie d'éclats de coquillages nacrés, certains affirment que ce sont des poches de gaz qui brulent et qui sont à des millions de kilomètres, certains disent n’importe quoi. C’est au cours des nombreuses missions que j’ai faites pour Lune d’Argent que « Fifi » est devenu une compagnon d’infortune plus ou moins permanent (j’ai bien dit une compagnon vu que le genre de cet être est difficilement déterminable, ou s’il est déterminé il est vraiment minable).
Lassé de Lune d’Argent j’ai décidé de m’expatrier, j’ai donc utilisé un objet emprunt d’une puissante magie capable de téléporter n’importe qui et n’importe quoi sur une autre partie du continent en passant par une dimension démonique intermédiaire (clic droit sur la boule rose au nord de lune d’argent qui envoi à Fosso directement).
J’ai atterri à Fossoyeuse, le château des morts-vivants, ville fortifiée et souterraine aux 1000 et 1 Âmes, gardée par des ogres éventrés verdâtres, où les habitants dorment dans des cercueils et où coulent à flots les verts esprits des morts des guerres passées, assaillie par nos ennemis une fois par semaine (généralement le vendredi soir ou le samedi soir…) « Ca me rappel ma ville natale ! Je reste » m’écriais-je. Fifi partit pour des contrées plus vertes, chez les Taurens.
De là, j’ai été missionné par les morts vivants pour infiltrer l’ennemi, défaire de puissants nécromants, sauver des innocents enfermés dans des donjons tortueux, stopper des invasions barbares et faire les poches des marchands (cette dernière mission n’est pas trop officielle, merci de ne pas l’ébruiter). Pour ces aventures j’étais parfois seul, parfois accompagné de membre de la guilde de la vieille école. Ainsi j’ai été aidé par les adorables hordeux de cette guilde, *tousse* pardon certainement la cigarette, qui m’ont permis de m’améliorer dans mes connaissances et mes compétences. J’ai pu aider à mon tour les nouvelles recrues dans ce monde moyennement âgé fantasmagorique. L’élévateur mécanique goblin hiéarchique (certains l’appellent ascenseur social) a relativement bien fonctionné pour ma pomme puisque je suis aujourd’hui officier.
A quand la prochaine guerre ? Juste histoire de relancer un peu l'économie car les marchands commencent à avoir les poches vides.

... qui veut la torche ?

Je suis né en hiver. J'ai grandi dans les plaines de Mulgore. J'ai grandi seul, dans les prairies. Je voulais être surveillant des troupeaux de Kodo, mais le monde c'est embrasé, et mon chef de clan à envoyé tout les braves se battre pour Cairn le chef de notre peuple. Un archidruide à detecté en moi un certain potentiel, et m'a appris les pouvoirs mystérieux du changement de forme. Mais étant trop agé pour commencer la formation des druides, je n'ai jamais su maitriser parfaitement cet art. J'adoptai la forme d'ours facilement, trop facilement. Le sang d'une victime me reconfortait. Je tuais pour le plaisir de tuer. Un jour avant mon incorporation définitive dans la garde de Cairn, je reperais un eclaireur de l'Alliance, je ne savais pas ce que c'était que l'Alliance, mais cet elfe était seul ... Je n'ai pas su contrôlé ma pulsion, pour la premiere fois de ma vie j'arrivais a reproduire la grace et la férocité d'un puma. Je traquais ma proie et enfin, dès que son attention fut détournée, je l'attaquais. Dire que je l'ai tué serait bien faible. Je m'acharnais sur les lambeaux de chairs, le sang, toujours le sang. Je fut severement punis à mon retour. Ma victime était un druide. Les druides n'attaquent pas les druides. Je fut renvoyé de la garde de Cairn, jeté sur les routes d'un monde effrayant. L'archidruide me permis de continuer l'apprentissage mais jamais ne je ne serais accepté dans le cercle Druidique. Je prennais donc mes minces talents, et mes pulsions sanguinaires, et me dirigeait vers la ville des orcs, car en ce temps là, la guerre avec les elfes pour le controle de la grande foret battait son plein. Partout on annoncait que les orcs de Warsong recrutaient des mercenaires assez fou pour se mesurer aux forces d'élites Elfes. C'est ainsi que je penetrais pour la poussièreuse Ogrimmar, et m'enrôlait dans la milice de Warsong.


à suivre